Un an après l’élimination de Sarkozy, le mécontentement populaire est profond face à la poursuite de la même politique par la majorité de gauche, dominée par le Parti Socialiste, mais dont les Verts et le Front de Gauche se revendiquent. Le mouvement populaire, bridé dans son expression par les institutions, doit lucidement trouver en lui-même les solutions.
Participer à l’élaboration d’une nouvelle Constitution : OUI ! À la condition d’être lucides sur les enjeux et responsabilités des uns et des autres et d’oser réfléchir à des solutions vraiment novatrices et révolutionnaires.
En commençant par donner au travail la place qui lui revient pour décider de la répartition des richesses qu’il est seul à créer !
Tournant le dos aux aspirations populaires, le nouveau pouvoir a choisi délibérément le camp du Capital qui exige de faire payer sa crise aux peuples. De nombreuses luttes s’avèrent déterminées, comme à PSA Aulnay, Good Year Amiens, Florange ou Fralib, entre autres. Mais un sentiment d’impuissance domine majoritairement dans la population et parmi les salariés.